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Un vent de renouveau, peut-être?

Dernière mise à jour : 25 févr.

L'autre, mon autre étant partie tourner une page de sa vie, ou plusieurs... Je me suis questionnée sur la pertinence et sur la nature de mes blogs jusqu’ici. Je ne vais quand même pas m’épancher sur ma peine d’amour pendant des mois, non?


J'ai donc décidé de vous offrir autre chose, quelque chose de moins intime peut-être mais, surtout, de moins redondant. Je vous invite à me dire ce que vous en pensez.


Est-ce que cette formule vous plait? Aimeriez-vous en lire plus?


J'espère vos commentaires.


Cliquez sur ce bouton pour lire.



Je vous ai tout de même écrit quelques lignes pour vous dire comment je vais.


Une semaine difficile


Je n’ai pris mon vélo qu’une seule journée la semaine dernière, un petite blessure à la cuisse qui m’ennuyait. Ça m’a permis de me pomponner, de me mettre jolie, comme ça, pour personne, juste pour moi, pour me sentir belle, pour essayer de me sentir mieux. Tous les jours donc, je me suis levée, j’ai fait mes exercices, ma lecture, mon journal, bref, mon Miracle morning. J’ai mis mes jeans (qui commencent presque à être trop grands), j’ai enfilé une jolie chemise bien boutonnée. J'ai placé mes cheveux, je me suis parfumée. J’ai fait l’effort. J’ai fait l’effort de continuer ma routine, l’effort de sourire, de chanter, de blaguer et même... de rire. A force, ce n’est plus aussi difficile, ça devient naturel.


Alors, même si en me rendant au métro je retenais à peine mes larmes, arrivée devant la station, je mettais mes masques; celui de tous les jours, comme tout le monde, et, celui des jours de grand chagrin, pour qu’une fois à l’intérieur ma douleur bien camouflée dans tous ces apparats, je puisse marcher la tête haute et d’un pas assuré.


Ensuite, on entame la journée de travail, on fait aller pendant un moment, puis, à force de faire semblant, on embarque dans le jeu et on y croit. Ça ne va pas si mal après tout, je vais bien même . La vie est belle, MA vie est belle. Et puis le jour se termine et je n’ai pas envie de rentrer. Je n’ai pas envie de ressentir le vide, de ressentir ma peine. Mais je ne peux pas rester au boulot, je ne peux pas me cacher éternellement. J’imagine que si je veux qu’elle parte, je dois la laisser sortir, d’une manière ou d’une autre.


J’ai terminé la semaine fatiguée, lasse. En fait, ça fait plusieurs semaines que je me sens fatiguée, je couvre peut-être quelque chose, j’ai peut-être attrapé la dépression.


Pour essayer de casser ce vilain virus, je vais me faire un plat que j’apprécie particulièrement, un plat relevé pour tuer le "méchant" comme disait mon père.






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